Il n’y a pas qu’en politique, qu’il y a des extrêmes !

Où voulez-vous en venir Gipeurien ?

Je veux évoquer les inconscients, face aux forcenés. Les négationnistes face aux ayatollahs, je parle de ceux de l’écologie, devant la réalité du changement climatique…

Sans compter que tout cela se termine le plus souvent par des violences, elles aussi extrêmes, mais c’est une autre histoire. D’un côté, nous voyons les climatosceptiques qui partent du déni d’un quelconque changement climatique. Malgré des faits de plus en plus avérés d’une évolution, mieux d’une progression en nombre et qualité d’événements météorologiques, formateurs d’un (presque) consensus scientifique maintenant flagrant, ils continuent de douter, de repousser toute logique destructrice. De l’autre côté, les ayatollahs ou les intégristes de l’écologie, sont devenus des extrémistes de la croyance en la fin du monde, détruit uniquement par les outrances des activités de l’homme.

En fait, chacun sait et peut constater que, comme en tout, il existe un juste milieu. D’ailleurs, juste, je ne sais pas, mais certainement pas l’une ou l’autre de ces deux affirmations. On peut justement dire que notre Terre est en danger, en tout cas d’un point de vue humain, on ne peut heureusement pas dire qu’elle va exploser demain. Ne serait-ce que par la bonne tenue de son orbite. Tant qu’elle ne se rapprochera pas irrémédiablement du soleil, nous pouvons vivre d’espoir ! Quant au refus de regarder les faits en face, de la part de certains, je ne vois pas comment ils vont pouvoir tenir leur ligne de défense, bien longtemps.

Ce qu’une réalité du moment – nous ne sommes plus dans le ressenti – nous enseigne aujourd’hui, c’est que la Planète s’est réchauffée de 1.2 °, depuis la toute fin du 19 ème siècle…

Ah oui, tout de même ! Ce qui signifie déjà et, a fortiori prochainement, que si cette montée en puissance des températures s’accentue, nous voyons et allons voir un nombre d’incendies de forêts multiplié, de phénomènes météo accentués, de vagues de chaleur en discontinu ou pas loin, de perturbations des cycles marins avec une augmentation des événements de précipitations extrêmes et, une avancée des sécheresses…

Sans compter de très nombreuses villes côtières, tout ou partie englouties. Le problème, c’est que  ce mouvement, ne peut pas uniquement tenir d’un phénomène naturel, même si celui-ci est indiscutable. Il y a donc de l’humain qui participe à cette évolution destructrice, en apportant la rapidité avec tout particulièrement ses gaz à effet de serre. Alors oui, l’atmosphère terrestre n’évolue pas forcément de façon favorable, non, il ne se passe pas rien sur Terre et, oui, il reste un temps pour l’action entamée…

Reste à accélérer !

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