On peut dire tout ce qu’on veut : mieux vaut voir venir le Risque Majeur, que d’attendre pour venir voir sa potentielle Réalisation, au tout dernier moment…
Donc se préparer le plus tôt possible, plutôt que savoir et ne rien faire.
Et, s’il se passe rien ?
Je l’attendais, celle-là ! Comment savoir ? De l’inondation au mouvement des plaques tectoniques en passant par les avalanches, les tempêtes et autres ouragans et, plus généralement les événements industriels, technologiques sans oublier le reste, vous n’êtes à l’abri de rien, nulle part…
Comme vous y allez !
Heureusement, malgré la succession et la répartition d’événements actuellement dans le monde, malgré leur amplification en terme de puissance, leur activité démultipliée, les individus ont une réelle possibilité de leur faire face, ne serait-ce déjà que par l’effet de mitigation en permanente évolution à notre époque. Mais je n’aurai rien d’un devin, si je dis qu’il n’empêche que tous ne passeront pas au travers…
On s’en doute, on le sait, pourquoi le rappeler ?
Mais enfin, comment faut-il…
Il me semble que Jefékoa, dans son élan, souhaite prioritairement attirer l’attention des personnes qui veulent bien nous suivre et, au-delà, de celles qui se posent des questions, tout particulièrement lors de Réalisations de Risques médiatisées, sur l’importance cruciale d’avoir la Conscience de ce qu’est le Risque Majeur. On peut le dire comme on veut, la Prise de Conscience, à partir du moment où elle est effective, entraîne la préparation individuelle et tout ce qui va avec…
Vous savez, notre beau Pays bouge sur ce point, mais on ne fait jamais assez. On peut saluer et remercier toutes celles et tous ceux qui, par leur mission, leur métier, leur bénévolat, leur découverte du phénomène, interviennent sur chaque non-événement – le Risque – et sur chaque événement – la Réalisation du Risque – pour, c’est selon, chercher, surveiller, innover ou sauver, soulager, accompagner. Tant que chacune ou chacun ne se sentira, même a minima, concerné, la partie ne sera pas gagnée…
Utopie !
Non, Gipeurien vous ne pouvez pas dire ça et, pour le coup, c’est d’un négativisme total…
Face à l’enjeu, le questionnement s’impose, la réflexion avance, le réalisme prend petit à petit le dessus, j’en suis convaincu. Ne serait-ce que pour une bonne raison : la prépondérance et la lisibilité de l’information, dans le monde. Aujourd’hui, tout se sait. Chacune et chacun ont la possibilité – j’aimerais tant pouvoir dire l’obligation ! – de s’y intéresser.
À chacune et chacun d’en retenir le principe et de mettre en oeuvre l’application !