Avant, pendant, on a vu. Et après ?

Ce sera secoué ! Or, après, c’est demain et, sans doute, y a-t-il à mettre en place une ligne de conduite – ou plusieurs – pour permettre aux uns comme aux autres d’aborder au moins mal le Risque Majeur, en particulier, naturel…

Déjà, se rendre compte qu’il existe et s’imprégner d’une certitude selon laquelle il va inexorablement s’amplifier !

Oui, on l’a évoqué précédemment : les océans vont monter, les incendies vont se multiplier, tout comme les inondations, les tempêtes vont se cycloniser et les cyclones ou autres tornades vont s’étaler en se répartissant un peu plus sur le monde, touchant des régions jusque là, abritées. Les conséquences, humaines, financières et organisationnelles vont être totalement chamboulées. Il est temps, grand temps que l’individu, celui qui a en charge les risques majeurs et celui qui subit ses conséquences, deviennent tous deux opérationnels dans la décision. Ce que je veux dire, c’est, me semble-t-il, qu’il  pourrait être judicieux de faire évoluer le “faites comme ci, faites comme ça”, d’un côté et, le “je fais là où on me dit de faire” de l’autre, vers un seul “faisons”…

C’est un bla-bla-bla !

Vérifions votre point de vue : le terrain parle et de plus en plus avec les inondations, les incendies, les tempêtes. Dans leur gestion locale, on s’aperçoit que les gens sont parfois jusqu’à être désemparés pour, ne serait-ce que tenter de faire face. Ils ne sont pas plus bêtes que vous et moi, il vont très vite comprendre et réaliser ce que l’on est en droit d’attendre d’eux : à un moment donné, passer à l’action.

C’est à dire ?

Se prendre en mains en commençant d’abord par décider de s’atteler à la tâche, passer à la phase observation, se renseigner, lire, progresser en rejoignant des lieux de formation pour que le jour J, ils sachent comment intervenir et savoir quand, où et pourquoi ils interviennent. Ils le feront dans la sérénité et non plus en paniqués…

C’est vrai qu’en plus au niveau de quartiers, de villages, des groupes peuvent très bien se constituer et devenir des actifs par la surveillance, l’alerte ou l’intervention. Groupes organisés, formés au Risque…

Sans compter que les moyens techniques d’action, ne serait-ce que le smartphone, facilitent le boulot !

En tout, nous pouvons nous attendre à affronter du lourd. Le psychisme va être mis à contribution…

Et le physique tout autant !

L’attitude ne peut pas être neutre. Chacun doit déjà se convaincre que la sienne va être déterminante.

 

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