Et, encore une : 2020. Mes amis, Bonne Année à vous deux, à nos lectrices et lecteurs…
À nos fidèles. À celles et ceux qui nous rejoignent…
Celles et ceux qui ne nous connaissent pas encore…
Et qui regretteront d’être venus si tard, le jour où elles et ils s’apercevront que nous existons depuis, en fait, je ne sais plus trop, un moment, déjà…
Ça leur fera de quoi lire durant les vacances d’été, d’hiver ou de printemps ! Nos papiers commencent à être nombreux et sur des sujets à Risque variés. Pour rattraper le retard à la lecture, il va falloir du temps !
Justement, au vu de la diversité des sujets que nous avons évoqués sur cette période, il me semble bien dérisoire de présenter des voeux, tant on se sent petit, quand ce n’est pas dépourvu, devant la puissance d’un Risque, encore plus, lorsqu’il est Majeur…
Ne piétinez pas aussi rapidement, nos bonnes intentions. D’autant que c’est facile. Quand vous énumérez ce qu’il s’est passé dans le monde en 19 et que, vous vous dites qu’en 2020, la poursuite des phénomènes de destruction, ne sera pas prête d’être en mode ralenti, évidemment, il faudrait rayer du calendrier le 1er janvier et sa cohorte de joie, de fête et de bonheur ! Mais, ce sont des souhaits et, il faut toujours laisser place au rêve, qui peut parfaitement devenir réalité, à un moment ou un autre de notre vécu. Il n’y a aucune raison authentique, qui empêche d’y croire…
Ouais… Si, pour l’année qui se termine, je vous dis Australie, auparavant, Californie, Amazonie, pour les incendies, New-Delhi pour la pollution, fonte de la banquise pour le Pôle Nord, Bahamas et ouragan, Mozambique et cyclone, éruption volcanique et Nouvelle-Zélande, puis séismes, tempêtes, coulées de boue, rien que pour les Risques naturels. Auxquels, j’ajoute inondations pour l’Europe, tout particulièrement la France, je crains pour le crédit accordé aux voeux…
Certes, gardons le sens des réalités. Mais, il n’y a aucune contradiction à avoir, en même temps, le souhait sincère. Que le mot employé, ait un sens et qu’il exprime la réalité de notre pensée, au moins, le temps où nous exprimons notre voeu, sera déjà, une belle attitude.
Vu de cette façon, j’acquiesce volontiers…
Alors, Bonne Année à toutes et tous !